J’ai finis perché à contempler du haut de ma montagne, j’ai joué la gagne, monde de bagne au sinistre cherché,
rire obsolète, fraîcheur qui laisse de glace comme un rire froid, pire le fond blesse dans nos regards que la haine allaite,
la distance m’anime, annihile le reste de social, sublime les peurs, mes craintes éduquent tout mon facial,
l’espoir coule comme une averse de pluie acide, de plus l’assise que j’ai est médiocre laissant choir mes doutes,
épine dorsal tenace sans possibilité de retrait, langage abstrait digne d’énarques habilités aux menaces,
je suis chat noir dans un monde bercé de superstition, trop d’affliction, à flairer j’préfère écrire mon histoire,
j’laisse l’érudition à ceux qui en son apte, sombre concept, lasser pourtant sans lâcher de rédition,
abstrait pour ceux qui veulent que je le soi, si jamais je sue, j’en veux à ceux qui voient cette vie comme un attrait,
agréer le vent des choses qui tournoie sans relâche, mes rêves me fâchent par faute de leurs donnés gain de cause,
estime porté aux gens qui échouent plus qu’ils ne réussissent, folie déclaré d’office parce que rien d’intelligent,
astre de bêtises abrutissante mon esprit est vague, complexé en tout j’ai la fatigue d’attaques incessantes,
j’aimerai souhaiter pour accéder ainsi aux vœux, mon âme crie au viole, crie au tort et se nourrie d’anxiété,
j’ai l’air excité sans plaire j’élève ma voix reste comme une gravure, éparpiller le gravier, sous nos pieds la dureté est telle que la douceur est invité,
j’suis rien dans un monde de multitude, un homme genre femme multi’prud, ultime rhume existentiel sans fin,
j’suis loin d’être issu d’une lignée forte sans blessure, rassembler sa, combler les fissures pour que l’on s’en sorte, sociales strates qui laissent des marques sans mesures...