A l'image de cette illustration de mon ami Roy, la vie se fait pressante, angoissante, un rien fatiguante, usante, stressante, autant de qualificatif qui finissent par "ante" pour signifier des ressenties à son égard.
Je suis, ces derniers jours, pleins d'animosité envers elle, on me dira, Yann, donne toi les moyens de réussir avant de te plaindre. Je repondrai: certe, néanmoins là n'est pas le problème, ces moyens je me les donne depuis quelques temps déjà. Le soucis se situe à d'autres niveaux.
Je ne vis pas pleinement les choses, j'en aie en moi des milliers qui bouillonnent et demandent a sortir. Chaque jours je les entends crier "laisse nous sortir". Hélas, tout n'est pas si évident, la vie m'empêche d'être là où j'aimerai être, d'être avec les personnes que j'aime réellement, je sais c'est facile de tout mettre sur le dos de celle-ci mais quand on ne peut donner un nom à cette sorte de frein qui nous habite les conclusions deviennent plus simple.
Chaque nouveau jour est pour moi une quête continuelle d'espérance à approcher cet instant où enfin je vivrai pleinement les choses, où mes ressenties, mes sensations seront épanouient, à leur paroxysme... .
Vivement ce moment...